search

Accueil > Persévérance scolaire > Formation,ressources, textes sur décrochage scolaire > 5 idées à retenir de ... "Génération Z"

5 idées à retenir de ... "Génération Z"

mercredi 7 février 2018, par Stéphane GOUDET

Un point d’éclairage sur la génération Z qui regroupe les individus nés après 1995. On l’appelle aussi « la génération multitâche ». C’est la troisième révolution industrielle, axée sur le numérique, qui est à l’origine de ces « digital natives ».

Il importe de décrypter le comportement de la génération Z, qui regroupe les individus nés après 1995, afin d’éviter un choc culturel pour les entreprises qui cherchent à les attirer. C’est la troisième révolution industrielle, axée sur le numérique, qui est à l’origine de ces « digital natives ».

1 Nomophobie

Les Z ne vivent pas seulement par le digital. Ils ont besoin de sociabilité réelle et mêlent le shopping en magasin, sur Internet et avec le mobile. Aujourd’hui, une nouvelle névrose se répand, l’angoisse de se retrouver sans son smartphone : « No mobile phobia » !

2 Crise d’autorité

Dans la famille contemporaine, plus démocratique, les jeunes ne reconnaissent plus l’expérience des parents comme des valeurs sûres. Ayant l’information à portée d’écran et de clic, ils contestent le savoir de leurs professeurs. Au même titre, le statut de collaborateur a changé. La relation donnant-donnant entre l’entreprise et le salarié se mue en gagnant-gagnant. Et le manager devient un architecte à défaut d’être un contrôleur.

3 Culture du partage

S’ils aiment acheter et consommer, les Z sont surtout enclins à partager. Ils louent, revendent, échangent et troquent. Le co-working est une nouvelle forme d’organisation, du travail et de l’espace.

4 Hyperconnectés

On les appelle « la génération multitâche ». Connectés à plusieurs écrans à la fois (smartphone, tablette, télévision, ordinateur), ils surfent sur le Net. La société les qualifie de « zappeurs » dans le monde du travail. Un mot doté autrefois de connotation négative et qui prend désormais une forme positive. Nous entrons dans l’ère du switch, celle de la fin des voies toutes tracées. Le marché se transforme profondément : érosion du CDI, progression des free-lances, obsolescence accélérée des métiers…

5 Home sweet home

La génération Z ne vit pas pour travailler mais travaille pour vivre. Ces jeunes choisissent une entreprise où ils se sentent bien professionnellement et personnellement. Ils doivent pouvoir développer leur potentiel.

Source : lesechos.fr