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Adolescence, médias sociaux & santé mentale

jeudi 18 juin 2020, par Stéphane GOUDET

Les médias sociaux font l’objet d’un investissement important de la part des adolescents. Ce dossier de d’origine belge est destinée à donner du sens à cette observation et à résumer ce que l’on sait de l’impact de ce phénomène sur la santé mentale des jeunes.

L’auteur :

Pascal Minotte est psychologue et psychothérapeute. Il travaille comme
responsable de projets et chercheur au Centre de référence en santé mentale
(CRéSaM) en Belgique. C’est dans ce contexte qu’il a participé à différentes recherches sur les usages et les usages problématiques des espaces numériques et qu’il accompagne régulièrement des professionnels dans leurs questionnements. Par ailleurs, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet :
Cyberdépendance et autres croquemitaines, Qui a peur du grand méchant Web ?)
aux éditions Yapaka et « Dévoreurs d’écrans, Comprendre et gérer nos appétits numériques » aux éditions Mardaga

Table des matières du dossier

Introduction 3

Que sait-on de l’impact des médias sociaux sur le bien-être des adolescents ?4
Le lien avec le bien-être, la dépression et l’anxiété 4

Un impact différent en fonction du genre 5
Médias sociaux et temps de sommeil.5
L’effet de comparaison et l’image du corps.6
L’usage (excessif) des médias sociaux à l’adolescence.9
Des grilles d’évaluation, mais pas de diagnostic.9
La tolérance et le syndrome de sevrage10
La préoccupation excessive pour les médias sociaux.10
Accro à une application ou aux interactions sociales ?10
L’investissement intensif des médias sociaux durant l’adolescence12
La séparation et la recherche de contacts fréquents avec les pairs.12
L’individuation, l’estime de soi et la validation par les pairs.13
Des lieux pour trainer ensemble13
Qu’est-ce qu’un usage excessif à l’adolescence ?.14
Des conséquences négatives liées à l’usage.14
Une certaine durée dans le temps.15
Comment comprendre ces excès ?.15
La peur de manquer quelque chose (FoMO).17
Pistes de réflexion et recommandations.18
Les médias sociaux comme ressources pour le soutien et la participation.19
Un travail de médiation entre recherches statistiques et expériences cliniques..20
Soutenir l’éducation aux médias plutôt que la métaphore du toxique.21
Éviter la création d’une nouvelle catégorie diagnostique.21
Une attention particulière aux différences de genres.22
Recommandations.23
Annexes..24
Compulsive Social Networking Scale (CSS).24
Les résultats de l’étude .25
Bibliographie.26